10 octobre 2018
Le musée sur un baril de poudre
[LE MUSEE SUR UN BARIL DE POUDRE ? 2/2]
On décide alors d’exproprier deux parcelles, appartenant à Dewez, et à l’artiste peintre Alexis Héois, limitrophes de l’impasse des Jardins de Beaumont. Mécontent de l’indemnisation proposée (1600 francs), alors qu’il estime son bien à 1800 francs, Héois obtiendra, après avis du jury d’expropriation, la somme de 1 650 francs. La poudrière peut alors être construite, et entre en service en 1852. Elle figure sur un dessin que l’artiste amateur Guillaume Barnetche, employé des contributions indirectes, expose en 1855.
Si ce dessin a disparu depuis, il a été reproduit par la gravure, dont des exemplaires existent au musée comme à la médiathèque. Mais qu'est devenue la poudrière ?
La suite (et fin) demain !
Gravure de Barnetche (Musée), vue prise depuis les fortifications, angle de prise de vue en cartouche
On décide alors d’exproprier deux parcelles, appartenant à Dewez, et à l’artiste peintre Alexis Héois, limitrophes de l’impasse des Jardins de Beaumont. Mécontent de l’indemnisation proposée (1600 francs), alors qu’il estime son bien à 1800 francs, Héois obtiendra, après avis du jury d’expropriation, la somme de 1 650 francs. La poudrière peut alors être construite, et entre en service en 1852. Elle figure sur un dessin que l’artiste amateur Guillaume Barnetche, employé des contributions indirectes, expose en 1855.
Si ce dessin a disparu depuis, il a été reproduit par la gravure, dont des exemplaires existent au musée comme à la médiathèque. Mais qu'est devenue la poudrière ?
La suite (et fin) demain !
Gravure de Barnetche (Musée), vue prise depuis les fortifications, angle de prise de vue en cartouche
Marc GOUTIERRE partagé d'après Musée des Beaux-Arts de Valenciennes
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